La crise financière mondiale continue et les gouvernements nationaux et locaux on tendance de couper dans les dépenses publiques. Plus d’économies, de licenciements, de réductions salariales mais également la disparition de projets de quartiers, tout cela affaiblit les secteurs déjà les plus fragiles de la société. Le système de pluralisme démocratique abandonne également de plus en plus les citoyens. Plus que jamais, les militant.e.s et activistes de tout bord devraient prendre leur sort dans leurs propres mains et revendiquer ce qui constituait jadis, le bien commun.